La famille Masson ( récit pas encore terminé )
La famille Masson
Bonjour, je me présente je m’appelle Emilie Masson. J’ai douze ans. Et voici, mon père Cédric qui a 30 ans ma mère Flavie qui a 31 ans et ma sœur Léonie qui a 10 ans Nous habitons à Londres près du Buckingham Palace. Je suis trop excitée parce que demain nous partons en voyage ! Nous allons visiter le désert du Sahara en avion. Le lendemain, nous nous préparons à partir pour aller à l’aéroport. Nous avons dû attendre deux ou trois heures avant de pouvoir partir. Enfin, au plein milieu du vol, la voix du pilote résonne dans les haut-parleurs en disant de rester calme mais qu’on risquait de s’écraser au plein milieu du désert.
Soudain, l’avion s’est mis à trembler et à descendre à toute vitesse. Très vite, nous avons vu le sable s’approcher. Tout le monde se mit à crier et tout à coup, plus rien. Mes parents, ma sœur et moi nous sommes levés et nous avons allumé la lampe torche de mon père. Tout autour de nous, les personnes qui voyageaient avec nous s’entassaient en piles monstrueuses de corps sans vie. Au final, il ne restait plus que ma famille de vivante. Même la radio qui rejoignait la tour de contrôle à Londres s’était cassée sous le choc. Nous sommes sortis de l’avion et avons pris toutes les provisions nécessaires pour survivre et nous avons commencé à marcher.
Nous avons marché, marché et nous nous sommes assoupis au-dessous d’un cocotier solitaire. Pendant la nuit, une tempête de sable a commencé. Nous nous sommes protégés du mieux possible. La tempête de sable terminée nous avons pu repartir vers la quête d’une oasis. Le troisième jour, nous avons trouvé de quoi nous nourrir et boire. Deux jours après, nous avons enfin trouvé une oasis. Nous avons commencé par remplir nos gourdes et puis j’ai suggéré de nous construire un abri. L’idée a été tout de suite adoptée et tout le monde a commencé à chercher des branchages, des feuilles et des gros rondins de bois. Ensuite, vu que j’adore lire les romans d’aventures, je savais comment construire un abri et la construction commença. Nous avons d’abord commencé par mettre les gros rondins de bois que mon père avait ramené autour de l’oasis. Ensuite nous avons commencé à attacher des rondins avec de la ficelle récupéré dans l’avion. Nous en avons fait une structure de six mètres de large, huit mètres de long et deux mètres de haut.
Puis nous avons continué en mettant les feuilles de palmier et de cocotier trouvées dans l’oasis. Cette construction nous a pris trois jours entiers. Nous avons ensuite consolidé le tout de jour en jour. Au bout du huitième jour, nous avions une forteresse qu’aucune bête ne pouvait forcer. Une palissade suivie de bouts de bois biscornus nous protégeaient. Notre abri était solide et préparé à toutes les intempéries. Il y avait une pièce de vie, trois chambres, une salle de bain et une cuisine. Nous avions fabriqués des ustensiles de cuisines et des lits de fortune. Un jour, je regardais maman faire la cuisine, quand tout à coup, un singe se posa à côté de moi. Ma sœur et moi décidons de le garder. Nous l’avons appelé Mustang en référence aux chevaux que j’adorais. Nous le montrèrent à nos parents et les supplièrent de le garder.
Le lendemain matin, je me réveillais tranquillement lorsque ma sœur me cria que les parents avaient disparu. Après plusieurs heures de recherche, j’en conclus donc que nos parents avaient bel et bien disparu .Je commençai à m’inquiéter car nos parents nous auraient prévenu de leur départ. Midi passé, nous recommençons nos recherches sans grand succès. Un bout du foulard de maman nous apprit qu’ils étaient encore en vie. Le lendemain midi, nos recherches nous ont permis de trouver la trace de roues de voitures. Le soir, nous étions désespérées quand des cris étouffés nous sommes parvenus. Nous courons vers le bruit qui s’amplifiait et Léonie reconnut les voix de nos parents. Ils étaient coincés dans des broussailles. Nos retrouvailles furent joyeuses et pleines de larmes.
